En pénétrant chez Amandine Chelon à l’atelier du terron, vous ressentez la douceur de l’endroit et la bienveillance de notre potiere. Dans son atelier de poterie, de multiples et beaux objets décoratifs, vases, cache pots, jardinières, galets, lumières d’ambiance, guirlandes et autres. Ces superbes pièces sont réalisées suivant la technique du Raku, une méthode ancestrale de cuisson rapide née au Japon aux alentours du XI ème siècle. Amoureuse de son métier, notre potiere nous explique la technique du Raku.

21 Décembre 2016 , Rédigé par Bruno POHEN, Tregormedia

 

Dans l’atelier du Terron, Amandine le rond et la courbe restent maîtres des lieux. À la lumière de sa véranda, l’artisane est en quête perpétuelle. « Ce que l’on recherche, c’est la craquelure de l’émail. »

2 avril 2017, Ouest France

Avec « L’atelier du Terron », Amandine Chelon n’aurait raté pour rien au monde cette 22^e édition du marché de Diwan. Installé rue du Terron à Paimpol, l’atelier de poterie et céramique s’offre cette « vitrine » pour la quatrième année. L’intérêt d’y trouver une place est multiple.

4 décembre 2017, Ouest France

Tour à tour comédienne, animatrice radio, journaliste, agent immobilier en région parisienne, elle a pris un jour la décision d’en finir avec le « toujours plus ».  »Gagner toujours plus d’argent, ça n’avait plus de sens pour moi. Je voulais retrouver un sens à ma vie. » Issue d’une famille d’artiste avec une sœur peintre et un frère auteur-compositeur, elle avait depuis longtemps l’intuition que l’on pouvait se réaliser autrement, redevenir authentique.

14 décembre 2018, La Presse d’Armor

Spécialiste de la terre et de la technique du Raku plus précisément, l’artiste organise des stages chez elle et si les amateurs veulent venir sur une semaine, il y a possibilité d’hébergement.

12 décembre 2019, Armelle Menguy, Le Télégramme

Dans l’atelier du Terron, niché à Paimpol (Côtes-d’Armor), Amandine Chelon s’est façonné une nouvelle vie, loin des tracas de la vie parisienne. Potière, elle vit désormais au rythme de ses créations.

14 décembre 2019, Charles Drouilly, Ouest France

« Il y a ce besoin d’être au contact avec la terre et la poterie permet ça. Je vais axer mon travail là-dessus, sur cet échange, ce partage, cette transmission. De plus ici, je peux proposer de l’hébergement »

3 mai 2020, Article et photographie Armelle Menguy, Le Télégramme